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PDF Ebook Une chambre à soi, by Virginia Woolf

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Une chambre à soi, by Virginia Woolf

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Une chambre à soi, by Virginia Woolf


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Une chambre à soi, by Virginia Woolf

Détails sur le produit

Poche: 176 pages

Editeur : 10 X 18 (16 mai 2001)

Collection : Bibliothèque

Langue : Français

ISBN-10: 2264033606

ISBN-13: 978-2264033604

Dimensions du produit:

17,7 x 10,9 x 1,1 cm

Moyenne des commentaires client :

4.5 étoiles sur 5

34 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

921 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Je n’ai jamais pu terminer Les Vagues, n’ai pas encore commencé Mrs Dalloway, par contre, j’ai dévoré « Une Chambre à Soi », qui n’est pas un roman mais un essai passionnant écrit en 1929 (soit dix ans après le droit de vote acquis par les femmes en Grande Bretagne). Virginia Woolf (1882-1941) recense dans ce travail de réflexion les idées reçues quant à la croyance en la supériorité des hommes sur les femmes (1). En six chapitres, elle nous livre un panorama frappant sur la condition féminine depuis la nuit des temps... Elle commence ainsi son ouvrage : « Je sais, vous m’avez demandé de parler des femmes et du roman. Quel rapport, allez-vous me dire, existe-t-il entre ce sujet et « une chambre à soi » ? Je vais tenter de vous l’expliquer. Après avoir accepté de vous parler, je suis allée m’asseoir au bord d’une rivière et je me suis interrogée sur le contenu des mots « romans » et « femme » ainsi rapprochés l’un de l’autre. Ce que l’on attendait de moi, était-ce seulement un hommage à des écrivains femmes illustres, Jane Austen, les sÅ“urs Brontë, George Eliot ? A y regarder de plus près, cette association « femme » et « roman » me parut moins simple. Peut-être me faudrait-il parler des femmes et de ce qui les caractérise, ou des femmes et des romans qu’elles écrivent, ou des romans qui traitent de la femme, ou encore, pensant que ces trois possibilités sont intimement liées, votre désir est-il que je les envisage dans leur entrelacement ? » (page 7), avant de poursuivre plus loin : « On ne peut ni bien penser, ni bien aimer, ni bien dormir, si on n’a pas bien dîné. » (page 29). De la même veine que Le commun des lecteurs (1925), l’ouvrage que voici s’adressera d’abord aux passionnés de littérature. Sur le sort des femmes, sur leur désir matériel, d’épanouissement et d’indépendance, c’est un travail sérieux et convaincant. On dit souvent de cet ouvrage qu'il est « féministe ». C’est en effet une critique à l’égard des rôles et places de la femme assignés par les sociétés, mais c’est aussi et surtout une exhortation pour les femmes écrivains, quand celles-ci aspirent réellement à écrire, à flâner, ou à faire autre chose que de « gérer une maison asservie ».Je ne me prétends pas « féministe » (d’ailleurs Virginia Woolf non plus, preuve qu’il n’est pas besoin de se déclarer comme appartenant à un mouvement historique ou idéologique pour expliquer ce que l’on est, ce que l’on veut ou ce que l’on ne veut pas). Néanmoins, une chose est sûre, depuis que j’ai lu cet essai, je comprends mieux où a voulu en venir Virginia Woolf : les femmes, comme les hommes, ne devraient pas nier leur part masculine ni leur part féminine. C’est le premier point. Virginia Woolf était certainement « androgyne », comme le furent Shakespeare, Coleridge et Keats. Façon de parler. Voici en tout cas le genre d'ouvrage qui devrait être inscrit au programme du lycée (en classe de première, par exemple), tout comme devrait l’être L’homme révolté d’Albert Camus. Ces ouvrages sont de véritables cours, de véritables leçons qui élèvent l’âme et l’esprit, ils servent de bases de réflexions pour penser la démocratie, pour nuancer sa connaissance du monde et enrichir son individualité… Comment ne pas éprouver du respect à l'égard de l’auteure d’Orlando quand celle-ci pose autant de questions sur les représentations et perceptions de la femme, sur ses rapports avec les hommes, depuis le Moyen-âge jusqu'à l’aube des années 30, et cela, sans tomber dans la caricature ni dans le vulgaire ? Essai à la fois savant et visionnaire (Woolf entrevoit même ce qui se passera au XXIème siècle…), doté d’une méthode scientifique imparable, A Room of One's Own (titre original) est pour moi la démonstration d’un esprit libre et brillant (2). Il pourrait relancer, par ailleurs, le débat sur le salaire à vie (il suffira de parcourir les six chapitres pour comprendre qu’il en est amplement question, ce qui permettrait à la femme écrivain d’écrire sans se soucier du lendemain). Les prises de position de Virginia Woolf ne manqueront pas de soulever quelques questions mais c’est aussi un pamphlet d’une haute exigence. Mieux, un encouragement.Ainsi, au cours de ces 170 pages, bien des femmes et écrivaines sont scrutées sous la plume et l’esprit de Virginia Woolf, laquelle nous dépeint une société patriarcale obsédée par « la chasteté des femmes et par son influence sur l’éducation de celles-ci » (page 96). Les hommes, nous dit en substance Virginia Woolf, voulaient maintenir les femmes dans une fonction reproductrice, ou de ménagères et quand ils étaient riches, ils les comblaient de tout mais refusaient à leurs épouses la plus minime responsabilité ou initiative… Le côté encore « despotique » de la société britannique (à cette époque) est donc épinglé par l’écrivaine. Le fait d’écrire, considéré comme ridicule et inutile, était en outre perçu comme une « folie » (le cas d’Aphra Behn par exemple). Comme Lou Andréas-Salomé (1861-1937) et George Sand (1804-1876), Virginia Woolf montre par ailleurs, qu’à la mort du mari ou du compagnon, la femme pouvait alors s’émanciper et retrouver une certaine liberté qu’elle n’avait pas jusqu’alors… En tout cas, très vite, vers la moitié du XVIIIème siècle, les femmes comprennent qu’elles peuvent gagner de l’argent, dans des traductions, dans des essais ou dans la rédaction de petits romans vendus deux sous. En 1866, apparaissent les premiers collèges de jeunes filles. Et le talent dans tout ça ? Virginia Woolf s’en explique (3). Et là est toute la problématique de l’auteure : le fait qu’elles puissent avoir une chambre à soi et une rente de cinq cents livres (« L’argent confère la dignité à ce qui serait frivole si on ne le payait pas », page 97), voici le seul moyen qui peut changer la donne. Le chemin vers l’indépendance de la femme pourrait alors se réaliser (on ne perdra pas de vue le contexte de la publication de cet essai). Des pages succulentes également lorsqu’elle compare Jane Austen (Orgueil et Préjugés) à Charlotte Brontë (Jane Eyre). Elle en arrive même à théoriser sur le roman, pose quelques questions judicieuses (telles que « qu’est-ce que lire ? », « comment écrire ? », « quelle créativité ? ») et y répond admirablement (4). Tout cela dépend finalement de l’argent de poche disponible et d’une chambre à soi…_______________________________________________________________________________(1) Le style de Virginia Woolf est fluide, et d’une richesse stupéfiante. C’est une belle démonstration de tout son talent d’écrivaine. Vous voulez écrire ? Vous avez besoin d’être encouragée ? Lisez donc « Une Chambre à soi » ! La traduction (par Clara Malraux, l’épouse du célèbre homme de lettres) m’apparaît claire, précise et judicieuse dans cette édition 10/18. Un livre que je ne manquerai pas de lire également en anglais pour préparer quelques cours sans doute...(2) Pages succulentes au cours desquelles Virginia Woolf nous parle aussi de Guerre et Paix, le fameux roman de Tolstoï (en quoi ce roman est un monument, pourquoi il faut le lire), puis nous parle avec passion de tous ces poètes et écrivains, tels que Jane Austen, Emily Brontë, George Eliot, puis Rudyard Kipling (épinglé), Keats, Proust, Shakespeare (et même la « sÅ“ur » de ce dernier…).(3) Quatre-vingt ans plus tard, la romancière Virginie Despentes apportera une réponse très personnelle et pour le moins singulière, dans un essai intitulé King Kong Théorie.(4) Quelques passages savoureux :« Les femmes ont toujours été pauvres, et cela non seulement depuis deux cents ans, mais depuis le commencement des temps. Les femmes ont eu moins de liberté intellectuelle que les fils des esclaves athéniens. Les femmes n’ont donc pas eu la moindre chance de pouvoir écrire des poèmes. Voilà pourquoi j’ai tant insisté sur l’argent et une chambre à soi.»

À travers cet essai, la narratrice décrit (le peu) de place qu'occupent les femmes en tant que auteures dans l'Histoire et notamment dans la littérature britannique.Elle passe en revue les contraintes auxquelles sont confrontées les femmes dans la vie ordinaire, contraintes incompatibles la plupart du temps avec une activité d'écriture : éducation des enfants, le respect des moeurs qui interdit aux femmes de voyager seule, d'avoir accès aux bibliothèques universitaires, etc.Elle évoque à la fois avec contrariété et admiration, les ruses de Jane Austen qui cachait ses manuscrits en s'interrompant à tout instant car son rôle dans la société ne lui permettait pas de s'isoler pour s'adonner à l'écriture. Et puisque les hommes considéraient qu'une femme n'a pas les capacités intellectuelles pour se livrer à un art quelconque, elle se protégeait ainsi des remarques sarcastiques de ceux qui auraient eu la curiosité de lire quelques unes de ses lignes.Virginia Woolf prône ici les bases de l'indépendance des femmes : la liberté d'user de son argent et un endroit pour s'isoler. Ainsi, elles pourront donner libre court à leur talent dans des conditions propices. Il restera encore à convaincre les hommes de celui-ci.Cet essai, resté dans les annales du militantisme féministe, d'un ton à la fois gracieux et féroce, est un modèle d'argumentaire dont la lecture, quoique laborieuse à mon goût, montre que presque un siècle après, beaucoup reste à faire.

un livre pour l'école mais qui ouvre sur d'autres mondes, n'est ce pas le but de la découverte de la littérature dans les établissements scolaires ?

Une lecture saine et indispensable pour toutes les femmes qui se cherchent et cherchent l'essence de leur féminité au travers de leur expression littéraire (mais cela peut s'adapter à toute expression artistique). Comment écrire lorsqu'on est une femme? Ne pas copier les hommes, être indépendante, spontanée, naturelle. Pour cela, il faut un peu d'argent, et une chambre à soi.

J'aime cette "plume" très libre et éclairée......(. surtout pour l'époque )...ironique et moins romancée que ces contemporaines , V.Woolf est pour moi la meilleure !A lire absolument!!C.B

Virginia Woolf est une écrivaine à part certes qui m'encourage à chercher plus loin encore à comprendre pourquoi tant de manipultations, de discriminations existent et sont entretenues dans notre société.Une révélation que ce livre sur la condition féminine d'un temps passé mais qui perdure encore par d'autres moyens.A mettre dans toutes les mains de personnes prêtent à ouvrir plus largement leur esprit et leur intelligence.

Écrivaine féministe incontournable. Ce livre des sujets de réflexion sur la liberté d'écrire, de manger des plats délicieux, même quand l'argent, de rêvasser dans de beaux librement pour laisser l'esprit créatif faire ce qu'il sait faire : créer

Un plaisir à lire, une fierté dans ma bibliothèque qui vient compléter le reste des ouvres de Madame WoolfJe conseille à tous, pour perdurer son ouverture d'esprit ou pour s'initier ;)

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